Perdu
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Dans la tête de cet inconnu amoureux.
Je me raccroche, abandonné
A un autre crépuscule déteint
Et je me demande où je suis …
A-t-elle pu s’enfuir avec lui ?
Si heureuse et si jeune
Et je scrute,
En chantant dans la voix perdue d’un étranger amoureux.
Hors du temps, je laisse tomber.
Dans un autre monde qui tourne pour s’amuser
Et je me demande où je suis ….
A-t-il pu lui demander pourquoi ?
Si heureux et si jeune ….
Et je scrute, mais …
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Dans le cœur de cet inconnu amoureux
Je me raccroche, abandonné
A cet autre crépuscule déteint
Et je ne suis pas certain de savoir où je me trouve …
Se serait-il vraiment enfui ?
Si heureux et si jeune ….
Et je scrute …
Et je rejoue la passion d’un étranger amoureux
Je laisse passer le temps
Dans cet autre monde qui tourne pour un
Et je ne suis pas sûr de savoir où je suis …
A-t-elle su que c’était un mensonge ?
Si heureux et si jeune …
Et je scrute … Mais …
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Dans l’âme de cet inconnu amoureux
Je ne contrôle rien
A cet autre crépuscule déteint
Et je ne suis pas certain de savoir où je me trouve …
Devrait-il lui demander de pardonner ?
Si heureux et si jeune …
Et je scrute …
Tandis que je revis l’histoire d’un inconnu amoureux
Qui se réveille et poursuit son chemin
Dans l’autre monde qui tourne, défait
Et je ne sais pas où je suis …
Devrait-elle vraiment dire au-revoir ?
Si heureuse et si jeune
Et je scrute … Mais …
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Je ne me trouve pas
Je me suis perdu en quelqu’un d’autre.
Labyrinthe
Tu dis que c’est le même soleil qui tourne dans le même ciel
Tu dis que ce sont les mêmes étoiles qui filent dans la même nuit
Tu me dis que c’est le même monde qui tourbillonne dans le même espace
Tu me dis que c’est le même temps qui s’égrène au fil des mêmes jours
Et moi je dis que c’est la même maison et que rien dans la maison n’a changé.
Oui, je dis que c’est la même pièce et que rien dans la pièce n’est étrange
Oh, tu me dis que c’est le même garçon qui brûle dans le même lit
Tu dis que c’est le même sang qui éclate dans la même tête
Tu dis que c’est le même goût qui enrobe le même baiser
Tu dis que c’est la même toi
Tu dis que c’est la même toi et que ça toujours été comme ça
Tu dis que c’est la même toi
Tu dis que c’est la même toi, toujours et que ça ne changera jamais
Tu dis que c’est la même toi
Tu dis que c’est la même toi et que ça toujours été comme ça
Tu dis que c’est la même toi
Tu dis que c’est la même toi, toujours et que ça ne changera jamais
Tu dis que c’est la même toi
Tu dis que c’est la même toi
Oui, tu me dis que tout est pareil
Et c’est ainsi que ce doit être
Mais si rien n’a changé …
Alors ça doit signifier ….
Mais le soleil est froid – le ciel est mauvais
Les étoiles sont noires – la nuit s’est estompée
Le monde est tranquille – l’espace est stoppé
Le temps est écoulé – le jour est tombé
La maison est sombre – la pièce est carrée
Le garçon est
Le garçon est raide – le lit est dur
Le sang est figé – la tête est explosée
Le goût est sec – le baiser est assoiffé
Et ce n’est pas la même toi
Non, et ça ne l’a jamais été
Ce n’est pas la même toi
Ce n’est pas la même toi, et ça ne l’a jamais vraiment été
Ce n’est pas la même toi
Ce n’est pas la même toi
Non, et ça ne l’a jamais été
Ce n’est pas la même toi, et ça ne l’a jamais vraiment été
Ce n’est pas la même toi
Ce n’est pas la même toi
Oh, ce n’est pas pareil
Ça n’a pas toujours été pareil
Tout doit avoir changé …
Ou c’est moi ….
Yeah yeah yeah!
Le jour le plus heureux de ma vie
Dans une mer d’or, à tes côtés
Si troublés et fatigués sous le soleil d’été
Tu murmurais des rêves d’un monde à venir …
Nous étions si amoureux.
Dans la mer d’or, si jeune et fatiguée
Sous le soleil torride d’été, à tes côtés,
Je susurrais des rêves à tes côtés …
Nous étions si amoureux
Le jour le plus heureux,
Oui, le jour le plus heureux de ma vie.
Mais le soleil d’été et la mer d’or
Ce jour parfait, oh, si lointain passé
A murmurer des rêves, si troublés et fatigués,
Nous devons garder vivace cette journée ….
En murmurant des rêves si jeunes et fatigues
Il est difficile de conserver en nous cette journée.
Et la nuit la plus heureuse de ma vie,
Près de toi, sur le sable argenté
Aussi effrayée qu’enjouée sous la lune d’hiver
Tu murmurais des rêves qui tous deviendraient réalité …
Nous étions si amoureux.
Près de toi, si défoncés et heureux
Sous la lune d’hiver qui me faisait pleurer
A murmurer des rêves sur le sable argenté …
Nous étions si amoureux
La plus heureuse des nuits,
Oui, la nuit la plus heureuse de ma vie.
Mais la lune d’hiver et le sable argenté,
Cette nuit parfaite sur une autre terre
A murmurer des rêves, si effrayés et heureux,
Nous devons garder vivace cette nuit.
On murmurait des rêves, si défoncés et heureux
Il est difficile de conserver en nous cette soirée.
Oui, et je redemande tous les soleils d’été
Et je veux les mêmes lunes d’hiver
Ma journée et ma nuit les plus heureuses
Toujours près de toi …et au plus profond de moi conservées …
Pour me garder vivant …
La fin du monde
Pars si tu veux
Je n’essaierai jamais de t’arrêter, tu sais qu’il y a une raison
A ton mal être
Ce n’est pas mon appel
Tu ne pouvais pas m’aimer davantage
Tu ne pouvais pas m’aimer davantage
Tu ne pouvais pas m’aimer davantage …
Moi …
Me...
Je suis assez pudique
Ce n’est pas si difficile de cacher des choses, tu t’en rendras compte
Je ne me souviens pas comment il faut être pour te plaire
Je ne pouvais pas t’aimer davantage
Je ne pouvais pas t’aimer davantage
Je ne pouvais pas t’aimer davantage …
Tu veux que je pleure et que je joue mon rôle
Je veux que tu soupires et que tu t’effondres
Nous le voulons, comme tout le monde.
Reste si tu veux
J’attends toujours de t’entendre dire qu’il peut y avoir un dernier baiser
Pour toutes les heures que tu as passées ainsi
Ce n’est pas de ma faute
Tu ne pouvais pas m’aimer davantage
Tu ne pouvais pas m’aimer davantage
Tu ne pouvais pas m’aimer davantage …
Je ne pouvais pas t’aimer davantage
Je ne pouvais pas t’aimer davantage
Je ne pouvais pas t’aimer davantage
Tu préfères que je te mente plutôt que de te briser le cœur
Je veux que t’ouvres tes ailes, et arrêter tes allers et retours
Nous le voulons, comme tout le monde.
Ooo-eee-ooo...
Ooo-eee-ooo...
Peut-être n’avons-nous pas compris
Que c’est juste la fin du monde ….
Ooo-eee-ooo...
Ooo-eee-ooo...
Peut-être n’avons-nous pas compris
Et pas seulement l’histoire d’un garçon et d’une fille
Mais juste la fin de la fin du monde !
Moi … je ne suis pas très prolixe
C’est beaucoup trop difficile de te comprendre
Je ne me souviens toujours pas comment il faut être pour te plaire
Je ne pouvais pas t’aimer davantage
Je ne pouvais pas t’aimer davantage
Je ne pouvais pas t’aimer davantage
Je ne pouvais pas t’aimer davantage
Je ne pouvais pas t’aimer davantage
Anniversaire
Cela fait un an aujourd’hui que nous étions là,
A surplomber ce même monde qui s’éveille
Je te prenais dans mes bras ….
Tu n’as jamais voulu que je sache.
Cela fait un an de plus aujourd’hui,
Devant ce même monde qui s’éveille
Je te prenais dans mes bras ….
Je n’ai jamais voulu de laisser partir.
Il y eut un moment
Et il y a toujours un moment
Où le temps s’est arrêté
Et ça l’a toujours été …
Un moment sans fin
Où tu as mal
Et je te laisse toujours partir
Encore et toujours …
Ce soir ça fait un an que nous étions allongés
Sous ce même ciel chargé de souvenirs
Je t’embrassais …
Tu n’as jamais voulu que je sache.
Ce soir, ça fait un an de plus
Derrière ce même ciel empli de souvenirs
Je t’embrassais …
Je n’ai jamais voulu te laisser partir
Et il y a toujours un autre moment
Où le temps s’arrête
Et c’est toujours ainsi …
Un moment sans fin
Tu me dis tout
Je t’enlace et je t’embrasse
Et je ne laisse jamais partir.
Je ne te laisse jamais partir …
Nous ou eux
Il n’y a pas de terreur dans mon cœur
La mort est avec nous tous
Nous l’absorbons avec notre premier souffle
Et nous la recrachons avec notre chute.
Pas de crainte de l’inconnu
On désire le paradis …
Nous aimons ça, tout seuls.
Non, je ne te veux nulle part près de moi
Je ne te veux nulle part près de moi
Sors ton putain de monde de ma tête
Je ne te veux nulle part près de moi
Je ne te veux nulle part près de moi
Sors ton putain de monde de ma tête
Je ne veux pas de ton “c’est nous ou eux”
Non, je n’ai pas besoin de ton « c’est nous ou eux »
Je n’ai pas besoin de ton « c’est nous ou eux »
De ton « c’est nous ou eux … »
« Je vis dans la connaissance de la vérité vraie
Et tous les Dieux sont grands !"
Le jargon sinistre d’un bigot
Aveuglé par la peur et la haine
Tu vis dans la connaissance de la vérité vraie ?
Oh, c’est le plus gros mensonge que j’ai entendu
Ton esprit et ton âme sont malades
Tu as peur de ma voix et de mes mots.
Non, tu ne veux pas de moi dans les parages
Tu ne veux pas de moi dans les parages
Tu te sors mon putain de monde de la tête
Tu ne veux pas de moi dans les parages
Tu ne veux pas de moi dans les parages
Tu te sors mon putain de monde de la tête
Je ne veux pas de ton « c’est nous ou eux »
I don't want your 'us or them'
Non, je n’ai pas besoin de ton « c’est nous ou eux »
Je n’ai pas besoin de ton « c’est nous ou eux »
De ton « c’est nous ou eux … »
De toute façon, c’est le “moi” qui a toujours le dernier mot.