Depuis les barreaux du berceau
Parvient une voix attrayante
Elle te fait tournoyer
Tu n’as pas le choix …
Tu entends des rires
Qui craquent à travers les cloisons
Ca te fait tournoyer
Nous sommes en trance,
Envoûtés.
Et n’oublie pas,
Quand tes aînés omettent
De faire leurs prières
De les attraper par les jambes
Et de les jeter dans les escaliers.
Quand tu crois
Que tes jouets ont pété les plombs
Et que c’est une illusion
Que tu ne peux pas te defiler
Que tu entends des rirers
Qui craquent à travers les cloisons
Ca te fait tournoyer
Tu n’as pas le choix …
En suivant les traces
De la danse d’une poupée chiffon
Nous sommes en trance,
Envoûtés.
INTO THE LIGHT
Dans la lumière
Sur l’horizon, dans la lumière
Je la vois bien, je la vois combattre
Sur l’horizon, dans la lumière
Nos coeurs entrelaçent un nouvel horizon
Souviens-toi, quand, blanchie à blanc,
Ton heure restait invisible pour toi
Debout dans la lumière,
Toujours assise sur l’horizon,
Jamais sur le côté,
Elle veut toujours jaillir de la lumière.
Debout dans la lumière
Je n’ai jamais voulu avoir raison
A présent je suis attirée par la lumière
Et aveuglée par la vue.
De nouveau morte dans la nuit
Brûlante dans la lumière
Et sachant que ça fait du bien
De foncer tout droit dans la nuit morte, dans la lumière
Dans la lumière.
ARABIAN KNIGHTS
Les Milles et Une Nuits
Le bijou, la récompense
En te regardant dans les yeux
Des points d’eau tranquilles noient ton esprit
Que vas-tu trouver d’autre ?
J’ai entendu une rumeur – ce n’était qu’une rumeur
J’ai entendu une rumeur – que lui as-tu fait ?
Des myriades de lumières – on disait que je serai impressionnée
Les Mille et Une Nuits – aux sources les plus originelles
Une oasis de touristes se reflète sur des ombrelles miteuses
Un monstrueux pétrolier
Ses amarres qui saignent dans les eaux.
J’ai entendu une rumeur – que lui as-tu fait ?
J’ai entendu une rumeur – que lui as-tu fait ?
Voilées derrière des écrans
Traitée comme un engin pour bébés
Tandis que tu conquiers plus d’orifices
De garçons, de chèvres et autres choses,
Des yeux de moutons arrachés, sans fourchette ni couteau.
Des myriades de lumières – on disait que je serai impressionnée
Les Mille et Une Nuits – aux sources les plus originelles
Retour titres album
La nuit est calme
Et le froid me mord le visage
Je porte mon silence comme un masque
Et, tel un fantôme, je murmure
« Un bonbon ou un sort !”
« Un bonbon ou un sort !”
L’amertume et la douceur.
Les jours insouciants
Sont loin à présent
Je porte mes souvenirs comme un linceul
J’essaie de parler mais les mots se fracassent
En faisant écho
« Un bonbon ou un sort ! »
« Un bonbon ou un sort ! »
L’amertume et la douceur
J’erre à travers votre tristesse
Je vous scrute avec mes yeux de scorpion
Halloween......Halloween
Un doux souvenir
Dans la nurserie couleur bleu-glacé
D’un meurtre enfantin
D’un lustre caché
Et d’elle, qui crie
« Un bonbon ou un sort ! »
« Un bonbon ou un sort ! »
L’amertume et la douceur
J’erre à travers votre tristesse
Je vous scrute avec mes yeux de scorpion
Halloween......Halloween