THE LAST DAY OF SUMMER
Le dernier jour de l'été
Je ne suis rien
Je ne rêve à rien
Rien n'est nouveau
Je ne pense, ni ne crois, ni ne parle de rien
Rien n'est vrai
Tout est si simple
Je n'ai même jamais essayé
Oui, tout était si simple ….
Mais le dernier jour de l'été
N'a jamais paru aussi froid
Le dernier jour de l'été
N'a jamais paru aussi vieux
Jamais paru aussi ...
Tout ce que j'ai
Tout ce à quoi je tiens
Tout ce qui ne va pas
Toutes les choses que j'aime, auxquelles je crois ou que je ressens,
Elles ne sont plus là
Tout était si simple
Je n'ai même jamais essayé
Oui, tout était si simple ….
Mais le dernier jour de l'été
N'a jamais paru aussi froid
Le dernier jour de l'été
N'a jamais paru aussi vieux
Mais le dernier jour de l'été
N'a jamais paru aussi froid
N'a jamais paru aussi ….
THERE IS NO IF...
Il n'y a pas de si ...
Je me souviens de la première fois où je t'ai dit je t'aime
Il pleuvait à verse et tu n'as pas entendu
Tu as éternué ! Et j'ai du le répéter
« Je t'ai dit je t'aime » …. Tu n'as pas dit un mot
Tu as juste posé les mains sur mes yeux brillants
Et, tandis que la pluie ruisselait entre tes doigts, je te regardais
Tes mains étaient posées sur mes yeux brillants, et tu as souri en m'embrassant …
« Si tu meurs », tu m'as dit, « je meurs aussi ».
Et c'est par ce signe que ça a commencé
« Dis-moi que je t'appartiens pour toujours et tu m'appartiens pour toujours
Pour toujours ...».
« Si tu meurs », tu m'as dit, « je meurs aussi ».
Et c'est le jour où tu as franchi cette ligne
« Jure-moi que je t'appartiendrai toujours et que tu m'appartiendra pour toujours
Que tu m'appartiendras toujours
Toujours ...».
Je me souviens de la dernière fois où je t'ai dit je t'aime
Tout était doux et tranquille dans notre monde parfait
Tu as baillé alors j'ai du le répéter
« Je t'ai dit je t'aime …. »
Tu n'as pas dit un mot
Tu as juste posé tes mains sur tes yeux brillants
Et j'ai regardé tes larmes couler entre tes doigts
Tes mains étaient posées sur tes yeux brillants et tu t'es mise à pleurer ….
« Si tu meurs », tu m'as dit, « je meurs aussi ».
Mais tu vois bien que le jour s'achève
L'éternité n'existe pas toujurs … Il y a juste …
Il y a juste …
Ce « si tu meurs », tu m'as dit, « je meurs aussi »
Mais il s'achève le jour où tu comprends
Qu'il n'y a pas de si …. et il n'y a que …
Qu'il n'y a pas de si …. et il n'y a que …
Il n'y a pas de si ….
THE LOUDEST SOUND
Le son le plus fort
Côte à côte en silence
Ils passent la journée
Si sereins, dans leur train-train ...
Et il n'y a plus rien à dire
Plus rien à dire
Plus rien à dire
Côte à côte en silence
Ses pensées raisonnent
Il regarde vers le ciel …
Elle regarde par terre
Le regard cloué vers le sol
Le regard cloué vers le sol
Côte à côte en silence
Ils espèrent des mondes différents
Elle le rêve en garçon
Et il l'aime en fille
Il l'aime en fille ...
Et côte à côte en silence
Sans un mot ….
C'est le son le plus fort
C'est le son le plus fort
C'est le son le plus fort que j'ai jamais entendu.
Le feu est presque éteint et il n'y a plus rien à consumer
Je suis en panne de pensées et je suis en panne de mots
Je les ai tous utilisés, je les ai tous utilisés …
Oui, le feu est presque froid et il n'y a plus rien à consumer
Je suis à court de sentiments et je suis à court de ce monde
Et tout ce que j'ai promis, tout ce que j'ai essayé
Oui, tout ce que j'ai su faire, c'est l'alimenter le feu
J'ai alimenté le feu
J'ai alimenté le feu
J'ai alimenté le feu
Mais le feu est presque éteint, il est presque éteint ...
Et il n'y a plus rien à brûler
Non, il n'y a plus rien à brûler
Pas même ça ...
Et le feu est presque mort et il n'y a plus rien à brûler
J'ai tout achevé …
Et tout ce que j'ai promis, tout les choses que j'ai essayées
Oui, toutes les choses dont j'ai rêvé, j'ai alimenté le feu
J'ai alimenté le feu
J'ai alimenté le feu
J'ai alimenté le feu
Mais le feu est presque éteint …
La moitié de ma vie j'ai été là
La moitié de ma vie en flammes
En me servant de ce que j'avais sous la main pour raviver le feu
Pour raviver le feu
Pour raviver le feu
Pour raviver le feu ...
Mais il n'y a plus rien à brûler
Non, il n'y a plus rien à brûler
Et le feu est presque éteint
Oui, le feu est presque éteint
Presque éteint, presque éteint
Presque éteint, presque éteint
Presque éteint, presque éteint
Presque éteint, presque éteint ..
Et il n'y a plus rien à brûler.
Tu disais que le rêve n'est jamais fini
Que ce sentiment ne disparaît jamais
Que le temps ne viendra jamais à filer.
Tu disais que cette vague ne se brise jamais
Que le soleil ne se recouche jamais
Que ces fleurs ne fâneraient jamais ».
Tu disais que ce monde ne s'arrête jamais
Que cet émerveillement perdure
Qu'il ne sera jamais le moment de dire au-revoir ».
Tu disais que la marée ne descend jamais
Que la nuit ne tombe jamais
Que ces fleurs ne mouront jamais ».
Ne mouront jamais
Ne mouront jamais.
Ces fleurs ne mouront jamais
Je disais que ce rêve se termine toujours
Que ce sentiment s'évanouie toujours
Que le temps vient toujours filer.
Je disais que cette vague ne se brise jamais
Que le soleil ne se recouche jamais
Et que ces fleurs ne fâneront jamais.
Je disais que ce monde s'arrête toujours
Que cet émerveillement disparaît toujours
Que ce sera toujours le moment de dire au-revoir.
Je disais que cette marée descend toujours
Que cette nuit retombera toujours
Et que ces fleurs mouront toujours
Mouront toujours,
Mouront toujours.
Ces fleurs fâneront toujours
Entre toi et moi
Il est difficile de vraiment savoir
A qui se fier
Quoi penser
Que croire
Entre toi et moi
Il est difficile de vraiment savoir
Qui choisir
Que ressentir
Que faire
Elles ne fânent jamais
Elles ne meurent jamais
Tu m'as donné les fleurs de l'amour
Elles fânent toujours
Elles meurent toujours
Les fleurs de sang, je les laisse tomber.