Reste avec moi
Mon faux orgueil, je le mettrai aux orties
Et je mettrai de côté toute ma vie.
Oui, je serai fidèle, aussi fidèle que possible,
Si tu restes avec moi.
Les amants du passé, je les laisserai de côté.
Aucun autre ne m'occupera l'esprit.
Je ferai tout ce que je peux pour que tu te sentes libre,
Si tu restes avec moi.
Les promesses que j'ai faites, en toute bonne foi,
Je les tairai, si jamais tu décidais de partir.
Je ferai en sorte que tu aies tout ce dont tu as besoin,
Si tu restes avec moi.
Nous vivrons une vie que nul n'a jamais connue,
Mais je sais que tu penses que j'ai à peine grandi,
Mais, oh, Dieu merci, enfin,
Je vois que tu vas rester avec moi.
Mais, oh, Dieu merci, enfin,
Je vois que tu vas rester avec moi.
IF I NEVER GET TO LOVE YOU Si je n'ai jamais réussi à t'aimer
Si je n'ai jamais réussi à t'aimer,
Ce n'est pas que je n'ai pas essayé.
Jusqu'à ma mort,
J'essaierai de te posséder.
Si je n'ai jamais réussi à t'aimer,
Ce n'est pas que j'ai fui.
Car tant que tu m'auras à tes côtés,
Je resterai.
Que n'ai-pas donné pour te serrer contre moi,
Pour ne jamais, jamais, te laisser loin de moi,
Être la première que tu embrasses chaque matin,
Et la dernière à qui tu dis bonsoir.
Si je n'ai jamais réussi à t'aimer,
Ce n'est pas que je m'en moquai.
Il n'y a rien d'autre dont j'ai envie,
Ou dont j'ai besoin,
Et mon cœur se briserait sûrement en deux,
Si je n'arrivais jamais à t'aimer.
Que n'ai -pas donné pour te serrer contre moi,
Pour ne jamais, jamais, te laisser loin de moi,
Si je n'ai jamais réussi à t'aimer,
Ce n'est pas que je n'ai pas essayé.
Jusqu'à ma mort,
J'essaierai de te posséder.
Si je n'ai jamais réussi à t'aimer,
Ce n'est pas que j'ai fui.
Car tant que tu m'auras à tes côtés,
Je resterai.
Que n'ai-pas donné pour te serrer contre moi,
Pour ne jamais, jamais, te laisser loin de moi,
Être la première que tu embrasses chaque matin,
Et la dernière à qui tu dis bonsoir.
Si je n'ai jamais réussi à t'aimer,
Ce n'est pas que je m'en moquai.
Il n'y a rien d'autre dont j'ai envie,
Ou dont j'ai besoin,
Et mon cœur se briserait sûrement en deux,
Si je n'arrivais jamais à t'aimer.
Le temps prend du temps
Le vent rit et le monde pleure
Et je ne m'en soucie plus.
Je n'entends plus que le son de ma tête
Et la douce mer qui rugit.
Car le vent rit et le monde pleure,
Et je rirai avec le vent.
Aujourd'hui finira quand le soleil se lèvera
Quand je rirai à tes yeux aveugles.
Le monde peut se briser
Et le temps prend du temps pour réaliser.
Car le vent rit, le monde pleure,
Et je rirai avec le vent.
Je rirai comme un enfant et je changerai,
Car, étrange, l'amour pour moi l'a toujours été.
Le vent rit et le monde pleure
Et je ne m'en soucie plus
Je n'entends plus que le son de ma tête
Et la douce mer qui rugit.
Car le vent rit et le monde pleure,
Et je rirai avec le vent.
Il me reviendra
Entends-tu ce que j'entends,
Où puis-je avoir été dupée ?
Des voix chantent,
Les cloches sonnent,
Elles disent
Qu'il me reviendra.
Il a beau être parti,
Dans mon sommeil,
C'est comme s'il était là avec moi.
Il reviendra
Je peux le dire,
Vous verrez,
Il me reviendra.
Encore une fois, encore une fois,
Dites-moi qu'il est encore fiable
Je sais, je sais,
Qu'il m'aime encore plus,
Et je resterai là à l'attendre,
Jusqu'à ce qu'il me revienne.
Vous devez savoir une chose :
Combien je l'aime.
Même s'il me fait du mal,
Il ne me désertera pas.
Et à présent les cloches sonnent,
Pour dire qu'il me reviendra.
Encore une fois, encore une fois,
Dites-moi qu'il est encore fiable
Je sais, je sais,
Qu'il m'aime encore plus,
Et je resterai là à l'attendre,
Jusqu'à ce qu'il me revienne.
Vous devez savoir une chose :
Combien je l'aime.
Même s'il me fait du mal,
Il ne me désertera pas.
Et à présent les cloches sonnent,
Pour dire qu'il me reviendra.
Alors voyez-vous,
Patiemment,
Je resterai ici à attendre son appel.
Les voix chantent,
Les cloches de l'église sonnent
Pour dire qu'il me reviendra.
En ville
(reprise de Pétula Clark)
Quand tu es seul,
Et que la vie te rend solitaire,
Tu peux toujours te rendre en ville.
Quand tu as des soucis,
Tout ce bruit et cette fureur
Font mal, je le sais,
En ville.
Écoute la musique de la circulation de la ville,
Attarde-toi sur les trottoirs où les néons dessinent de jolis reflets
Comment peux-tu ne pas gagner ?
Les lumières y sont beaucoup plus claires,
Tu peux oublier tous tes problèmes, tous tes soucis.
Va en ville,
Les choses seront plus belles quand tu y seras.
C'est certain, il n'y a pas d'endroit plus sympa.
En ville,
Tout n'attend que toi.
Ne traîne pas,
Et ne laisse pas tes soucis autour de toi,
Il y a des cinémas, en ville.
Peut-être connais-tu des petits endroits
Qui ne ferment jamais, en ville.
Écoute le doux rythme de la bossa nova
Tu danseras avec eux, aussi, avant la fin de la nuit,
Et tu seras heureux.
Les lumières y sont beaucoup plus claires,
Tu peux oublier tous tes problèmes, tous tes soucis.
Et va en ville,
Là où les lumières s'illuminent,
En ville.
On t'attend ce soir, en ville.
Tu t'y sentiras bien.
Et tu pourrais y trouver
Quelqu'un de gentil
Pour t'aider et te comprendre
Quelqu'un comme toi,
Qui a besoin d'une main bienveillante
Pour te guider.
Alors peut-être t'y verrai-je,
Nous pouvons oublier tous nos problèmes, tous nos soucis.
Et aller en ville.
Les choses iront mieux
Quand tu seras en ville.
N'attend pas une minute de plus,
En ville,
Tout n'attend que toi.
Plaisir d'amour
Ne dure qu'un moment,
Chagrin d'amour
Dure toute la vie (1).
Tes yeux ont embrassé les miens,
J'ai vu en eux l'amour briller,
Mais tu m'as de suite donné les Cieux
Quand tes yeux ont embrassé les miens.
Plaisir d'amour
Ne dure qu'un moment.
Chagrin d'amour
Dure toute la vie (1).
Mon amour m'aime
Et toutes les merveilles que je vois
Mais l'arc-en-ciel
Brille à ma fenêtre
Mon amour m'aime.
Plaisir d'amour
Ne dure qu'un moment.
Chagrin d'amour
Dure toute la vie (1).
(1) Titre en français dans l'album et passages chantés en français.
CAN'T YOU HEAR MY HEARTBEAT ? Entends-tu battre mon cœur ?
Chaque fois que je te vois me regarder,
Bébé, bébé, entends-tu battre mon cœur ?
Dans le parc, ou sur l'autoroute,
Entends-tu battre mon cœur ?
Et quand tu te rapproches de moi,
Je me sens « ouahhh !!!! »
Entends-tu mon cœur qui martèle,
Car tu es celui que j'aime, celui que j'aime.
Quand je sens tes bras autour de moi,
Bébé, entends-tu le battement de mon cœur ?
Je suis heureuse, je suis si heureuse que tu m’aies trouvée,
Bébé, bébé, entends-tu le battement de mon cœur ?
Et quand tu m'as demandé de rencontrer ta mère
Je savais, chéri, que nous avions franchi un cap
Entends-tu mon cœur qui martèle,
Car tu es celui que j'aime, celui que j'aime.
Car tu es celui que j'aime, celui que j'aime.
Tous mes amis ont vraiment hâte de te rencontrer,
Bébé, bébé, entends-tu le battement de mon cœur ?
Il est temps à présent d'aller voir le pasteur
Bébé, bébé, entends-tu le battement de mon cœur ?
Les cloches de la noce vont carillonner,
Et, mon amour, mon amour, tu seras mien.
Entends-tu mon cœur qui martèle,
Car tu es celui que j'aime, celui que j'aime.
Bébé, bébé, entends-tu le battement de mon cœur ?
Tandis que coulent les larmes
C'est la fin de la journée,
Assise, je regarde les enfants jouer.
Je vois des visages qui sourient,
Mais pas pour moi.
Je m'assois et regarde, tandis que coulent les larmes.
Mes riches à moi ne peuvent pas tout acheter
Je veux entendre les enfants chanter.
Tout ce que j'entends,
C'est le bruit de la pluie qui tombe,
Je m'assois et regarde, tandis que coulent les larmes.
C'est la fin de la journée,
Assise, je regarde les enfants jouer.
Et faire des choses qu'autrefois je faisais
Et qu'ils croient être nouvelles,
Je m'assois et regarde, tandis que coulent les larmes.
Humm humm humm humm humm humm humm humm ...
humm humm humm …..
Les cloches de Paris
Une fois baissés les rideaux des cafés,
Personne ne traîne dans la ville.
La matin, après la pluie,
Les barges bougent sur la Seine.
En bas de l'avenue bordée d'arbres,
Les cloches de Paris sonnent dans la brise,
Les cloches de Paris sonnent dans la brise.
L'aube se lève, les oiseaux se mettent à chanter,
Le soleil perce, réchauffe tout.
L'écho des pas sur une rue pavée,
Sombres ruelles où se rencontrent les ombres.
En bas de l'avenue bordée d'arbres,
Les cloches de Paris sonnent dans la brise,
Les cloches de Paris sonnent dans la brise.
Les endroits que nous avons visités,
La chapelle où nous nous sommes mariés,
Les cloches de Paris dans la brise,
Souvent ravivent les souvenirs.
Nous avons connu la pluie du matin,
Nous avons erré le long de la Seine.
A présent tu t'es éloigné de moi,
Tu n'es qu'un souvenir
Comme les cloches sonnent dans la brise,
Les cloches de Paris sonnent dans la brise.
THEY NEVER WILL LEAVE YOU Ils ne te quitteront jamais
Ils ne te quitteront jamais,
Le chagrin et la douleur
De l'amour, qu'un jour peut-être
Tu apprendras à connaître.
Toi seul peut les partager,
Et moi, combien j'en arrive à les désirer
Ces jours que nous avons connus,
Et qui ne reviendront jamais.
Ils ne partiront jamais
La pluie et les orages,
La neige et les vents,
Qui te guident vers le départ.
Ils t'ont emporté loin,
Loin de ma vie.
Ils nous ont condamné,
Et mon cœur, ils l'ont dérobé.
Ils ne te quitteront jamais,
Mes espoirs ou mes souvenirs,
J'ai perdu tout mon amour,
Et n'ai nulle pas où me tourner.
Mon bonheur avec toi
S'est noyé dans mes larmes,
Ces larmes qui couleront
Jusqu'au jour de ton retour.
Ces larmes qui couleront
Jusqu'au jour de ton retour.
Ces larmes qui couleront
Jusqu'au jour de ton retour.
WHAT HAVE THEY DONE TO THE RAIN Qu'ont-ils fait à la pluie ?
Juste une petite pluie qui se répand
L'herbe qui lève la tête à ce son paradisiaque.
Juste une petite pluie, juste une petite pluie,
Qu'ont-ils fait à la pluie ?
Juste un petit garçon, debout sous la pluie,
Une douce pluie qui tombe depuis des années.
Et la pelouse n'est plus là, le garçon disparaît,
Et la pluie continue de tomber tel des larmes désemparées
Et qu'ont-ils fait à la pluie ?
Rien qu'une petite brise venue du ciel,
Les feuilles acquiescent de la tête au souffle du vent,
Rien qu'une petite brise avec un peu de fumée dans l’œil
Et qu'ont-ils fait à la pluie ?
Juste un petit garçon, debout sous la pluie,
Une douce pluie qui tombe depuis des années.
Et la pelouse n'est plus là, le garçon disparaît,
Et la pluie continue de tomber tel des larmes désemparées
Et qu'ont-ils fait à la pluie ?
Dans mes moments de tristesse
Dans mes moments de tristesse,
Dans mes moments où je me sens mal,
Oh, que ne donnerais-je
Pour revivre tous ces bons moments.
Dans mes moments de tristesse,
Dans les moments où je me sens seule,
Il y eut un temps
Où je pouvais me détendre l'esprit
Rien qu'en pensant être seule.
Les changements de vie
Que je traverse
M'empêchent de faire
Ce que je sais devoir faire.
Dans mes moments de tristesse,
Dans les moments où coulent les larmes,
Je ne peux pas de dire pourquoi,
Je ne veux pas essayer.
Mais l'heure est venue pour moi
De dire adieu.
Dans mes moments de tristesse
Dans mes moments de tristesse
Dans mes moments de tristesse ….
Qu'ai-je fait de mal ?
Qu'ai-je fait de mal ?
Encore une fois, on dirait que je t'ai fait du mal,
J'ai pourtant essayé, mais en vain.
Ces larmes dans tes yeux que tu ne peux cacher,
Mais, je t'en prie, pardonne-moi si tu le peux.
Qu'ai-je fait de mal ?
Je déteste te faire souffrir autant,
Je ne suis pas une enfant et je devrais savoir
Quand finit le rire et commencent les larmes,
Et je dois te paraître si cruelle.
Viens, laisse-moi embrasser tes tendres lèvres,
Et tu verras la nature de notre amour.
Qu'ai-je fait de mal ?
Tu t'éloignes quand je suis là
Et pourtant je sais que tu n'as pas besoin d'avoir peur.
Si j'avais le temps de te rendre plus serein,
Je te montrerai combien j'y tiens.
Qu'ai-je fait de mal ?
Je suis une perdante
De tout l'amour que j'ai perdu ou gagné,
Il y en a un que je n'aurais jamais du croiser.
C'était un garçon parmi des millions d'autres, mon ami,
J'aurais du savoir qu'il finirait par gagner.
Je suis une perdante,
Et j'ai perdu quelqu'un de proche.
Je suis une perdante,
Et je ne suis pas celle que je parais être.
J'ai beau rire et me comporter comme un clown,
Derrière ce masque, je suis remplie de tristesse.
Mes larmes tombent du ciel, comme la pluie,
Est-ce pour lui ou pour moi, si je pleure ?
Je suis une perdante,
Et j'ai perdu quelqu'un de proche.
Je suis une perdante,
Et je ne suis pas celle que je parais être.
Je suis une perdante,
Et j'ai perdu quelqu'un de proche.
Je suis une perdante,
Et je ne suis pas celle que je parais être.
Qu'ai-je fait pour mériter un tel destin ?
Je me rends compte que je l'ai abandonné trop tard
Et c'est vrai, avant la chute se montre la fierté
Je te le dis, pour t'éviter que tu perdes tout.
Je suis une perdante,
Et j'ai perdu quelqu'un de proche.
Je suis une perdante,
Et je ne suis pas celle que je parais être.
Je suis une perdante.
Le soleil du matin
Je vois le soleil du matin
Qui se lève au-dessus de la colline
Pour moi, c'est douleur et chagrin
Qui se lèvent par-delà la colline.
Je suis très triste,
L'amour pour moi est perdu,
Mais je le retrouverai.
Je connais un homme,
Qui brise tous les cœurs qu'il peut.
Je le connais bien,
Puisqu'il m'a fait souffrir.
Je suis très triste,
Les larmes me suivent,
Mais j'aimerai encore.
Je suis très triste,
Les larmes me suivent,
Mais j'aimerai encore.
Je connais un homme
Qui promet qu'il sera fidèle,
Et quand j'y repense,
Eh bien, que pouvais-je faire ?
Je suis très triste,
Mais il est honnête,
Et nous nous aimerons de nouveau.
Je vois le soleil du matin
Qui se lève au-dessus de la colline.
Je le regarde, et il me dit
Qu'il restera,
Et il est resté.
Je ne suis plus triste,
Il me réconforte,
Et nous nous aimerons de nouveau.
Vertes-manches
Hélas, mon amour, vous me maltraitez,
À me rejeter de façon si discourtoise,
Moi qui vous aime depuis si longtemps,
Qui me délecte en votre compagnie.
Vertes-Manches était toute ma joie,
Vertes-Manches était mon bonheur,
Vertes-Manches était mon cœur d'or,
Qui d'autre que Vertes-Manches ? (1)
Hélas, mon amour, que vous possédiez un cœur
D'aveugle vanité,
Ainsi je dois, jeune homme, me débrouiller
Seule avec votre insincérité.
Vertes-manches …..
(1) Traduction extraite de Wikipedia.
THE HOUSE OF THE RISING SUN La maison du soleil levant
Il existe une maison en Nouvelle-Orléans,
On l'appelle le soleil levant.
Elle représente la ruine
De nombreuses pauvres filles,
Et moi, mon Dieu, j'en fais partie.
Il existe une maison en Nouvelle-Orléans,
On l'appelle le soleil levant.
Elle représente la ruine
De nombreuses pauvres filles,
Et moi, mon Dieu, j'en fais partie.
Si j'avais écouté ma mère
Je serai chez moi maintenant.
Mais, mon dieu, j'étais jeune et stupide,
J'ai laissé un promeneur me dérouter.
Je m'en vais dire à ma jeune sœur
De ne pas faire ce que j'ai fait.
Évite cette maison en Nouvelle-Orléans,
On l'appelle le soleil levant.
Oui, je retourne à la Nouvelle-Orléans,
Mon périple est presque terminé
Ma vie, je retourne la passer
Dans la maison du soleil levant.
La chanson sha-la-la
C'est terminé enfin
Je savais que je ne pourrais pas le retenir,
Son amour pour la liberté
Était bien trop fort.
Mais bien qu'il soit parti désormais,
Ma vie ne fait que commencer.
Bientôt je l'oublierai
Bientôt je l'oublierai
Seigneur, je dois l'oublier !
Sha-la-la-la-la-la
C'est un tout nouveau jour qui commence
Sha-la-la-la-la-la
C'est un tout nouvel amour qui m'attend.
Me rappellerai-je ?
L'entendrait-je encore murmurer ?
Sentirai-je encore
Ses lèvres sur les miennes ?
Je le vois dans mes rêves,
Peut-être restera-t-il pour toujours
Et c'est tout ce que je désire,
Tout ce que j'espère,
Tout ce que j'attends, également.
Sha-la-la-la-la-la
C'est un tout nouveau jour qui commence
Sha-la-la-la-la-la
C'est un tout nouvel amour qui m'attend.
Il m'a rendue heureuse,
Et bien que j'ai souffert, aussi
Il n'y a pas d'erreur,
Notre amour était sincère.
Mais un amour si doux
N'était pas censé l'être,
Et tout est fini,
Oui, tout est fini.
Et maintenant c'est fait, je vais tout recommencer.
Sha-la-la-la-la-la
C'est un tout nouveau jour qui commence
Sha-la-la-la-la-la
C'est un tout nouvel amour qui commence.
Sha-la-la-la-la-la
C'est un tout nouveau jour qui commence
Sha-la-la-la-la-la
C'est un tout nouvel amour qui commence.
Oh, regarde autour de toi
Oh, regarde autour de toi
Dis-moi ce que tu vois ?
Vois-tu le matin ensoleillé,
Et la verdoyante terre, si libre ?
« Oh, non, je ne vois aucun matin
Rien que des terres de noirceur et de grisaille
Et on me dit que la verdoyante terre
A disparu depuis longtemps,
A disparu depuis longtemps ».
Encore une fois, regarde autour de toi
Dis-moi ce que tu vois ?
Vois-tu les grands éclats de rire
Et la grande bleue ?
« Oh, non, il n'y a pas de tristesse
Là où se trouve l'arbre qui rit
Et on me dit que la mer bleue
Depuis longtemps est rouge sang,
Depuis longtemps est rouge sang.
Ne regarde plus autour de toi,
Ne dis plus ce que tu vois,
Mais donne-moi ta main froide
Et allonge-toi près de moi.
Et là-bas, oh, mon amour
Jamais plus tu ne t’inquiéteras
Et, tout comme les autres,
Dans notre sommeil, on oubliera,
Dans notre sommeil, on oubliera.
I'D LIKE TO DIAL YOUR NUMBER J'aimerais bien t'appeler
J'aimerais bien te rappeler,
Mais ton numéro, je ne m'en souviens plus très bien.
J'aimerais te revoir,
Car je ne me rappelle pas
Du moment où j'ai dit que je ne te reverrai pas
Cela fait si longtemps, je ne m'en souviens pas.
J'aimerais t'embrasser encore une fois
Parce-que je crois que ce serait différent maintenant.
J'aimerais t'aimer encore une fois,
Car le dernier respect était à moi.
J'avais beau courir après le temps,
Cela fait si longtemps, je pensais juste une seule fois.
J'aimerais bien te rappeler
Ton numéro, je crois que je m'en souviens bien.
J'aimerais te revoir,
Car je ne me rappelle pas
Du moment où j'ai dit que je ne te reverrai pas
Cela fait si longtemps, peux-tu me dire quand ?