Toute ma vie est sur moi à présent Je salue les pages qui se tournent Et l’avenir est tout tracé L’enfer ignore ma colère.
Tu es ce qu’il me faut, tu es ce qu’il me faut Tu es ce qu’il me faut, tu es ce qu’il me faut Tu es ce qu’il me faut, tu es ce qu’il me faut Tu es ce qu’il me faut et la foi me ferait peut-être du bien
Je ne sais pas ce que je fais, je ne le sais pas, Devrais-je changer d’avis ? Je n’arrive pas à choisir, il y a trop d’options à considérer Je ne fais rien, rien du tout à part m’inciter à en faire plus.
C’est vrai, j’imprègne bien ma mélancolie en moi, Je la rends plus amère. Bébé, repose ta tête sur mon genou une fois de plus, Dis-moi que tu te sens bien avec moi. Bébé, dis-moi que tout va s’arranger, Je pense que non.
Tu es ce qu’il me faut, tu es ce qu’il me faut Tu es ce qu’il me faut, tu es ce qu’il me faut Tu es ce qu’il me faut, tu es ce qu’il me faut Tu es ce qu’il me faut et la foi me ferait peut-être du bien Et la foi me ferait peut-être du bien.
Et voilà un nouveau discours que tu crois que je vais avaler. Une nouvelle réplique qui te fera rabattre les oreilles Un nouveau train de pensées trop difficile à suivre En fredonnant une chanson qui appartient au changement de vitesses.
Pardonne-moi d’être distante La douleur est évidente dans mon existence Pardonne-moi pour ma distance La honte est manifeste dans ma résistance A ton amour A ton amour A ton amour.
Je t’aurais bien prévenu mais vraiment à quoi ça sert La prudence a rarement aidé Ne sois pas triste, mon comportement tend à décevoir C’est assez dur d’être polie envers moi-même.
Pardonne-moi d’être distante La douleur est évidente dans mon existence Pardonne-moi d’être distante La honte est manifeste dans ma résistance A ton amour A ton amour A ton amour.
Ma bravoure m’autorise A danser le rigodon autour de toi Mais à mesure que je m’approche de toi Je perds mon désideratum et toi, tu …
Alors, on y est, dis-moi bébé, comment dire ? Je suis ta nana ou bien dois-je quitter cette ville ? J’ai juste besoin d’être rassurée Vas-tu en faire tout un plat ou vas-tu assumer tout ce que j’étale ?
Pardonne-moi d’être distante La douleur est évidente dans mon existence Pardonne-moi d’être distante La honte est manifeste dans ma résistance A ton amour A ton amour A ton amour.
Tu veux me rendre malade Tu veux lécher mes blessures N’est-ce-pas, chéri ? Tu veux la médaille d’honneur quand tu me sauves la peau, Mais tu es comme le Jugement Dernier S’il te faut ma disgrâce pour raviver ton orgueil
Et quand j’y pense, mes doigts se transforment en poings Je ne t’ai jamais rien fait, mec Malgré mes efforts, tes mensonges cruels me font souffrir Alors traite-moi de folle, retiens-moi Tu me fais pleurer, vas-t-en, Sinon tu vas te retrouver allongé par terre, à boîter en marchant sur les mains.
Tu nourris la bête que j’ai en moi Tu agites le drapeau rouge, tu la fais courir, courir, courir, En restant sur la touche, en faisant de grands gestes et en grimaçant Tu caresses ma gâchette, puis tu en veux à mon fusil. Et quand j’y pense, mes doigts se transforment en poings Je ne t’ai jamais rien fait, mec Malgré mes efforts, tes mensonges cruels me font souffrir Alors traite-moi de folle, retiens-moi Tu me fais pleurer, vas-t-en, Sinon tu vas te retrouver allongé par terre, à boîter en marchant sur les mains
Et quand j’y pense, mes doigts se transforment en poings Je ne t’ai jamais rien fait, mec Malgré mes efforts, tes mensonges cruels me font souffrir Alors traite-moi de folle, retiens-moi Tu me fais pleurer, vas-t-en, Sinon tu vas te retrouver allongé par terre, à boîter en marchant sur les mains
Gonflée d’amour, je te regardais En me concentrant sur mes bougies d’anniversaire Je désirais les flammes ourlées de bleu sous tes sourcils Et, bébé, je te désirais.
Personne ne s’aperçoit que tu es couché dans ton lit Et je veux y ramper avec toi mais je pleure au lieu de cela. Je veux ta chaleur, mais, quand ce sera fini, j’aurais encore plus froid Alors ce soir je ne peux pas, chéri.
Non, plus de « chéri » Si j’ai besoin de toi, je t’appellerai simplement par ton nom Que des bises sur la joue à partir de maintenant Et, bientôt, nous nous dirons adieu.
Ma main ne te retiendra plus La voie est libre Je suis restée trop longtemps sur le pas de la porte Et maintenant je t’abandonne.
Non, plus de « chéri » Si j’ai besoin de toi, je t’appellerai simplement par ton nom Que des bises sur la joue à partir de maintenant Et, bientôt, nous nous dirons adieu.
Non, plus de « chéri » Si j’ai besoin de toi, je t’appellerai simplement par ton nom Que des bises sur la joue à partir de maintenant Et, bientôt, nous nous dirons adieu.