Les titres
On va vous secouer
Aah,
Mon pote, tu es un garçon, fais du vacarme
En jouant dans la rue, tu seras un grand homme un jour
Tu as de boue sur le visage
Toi, t'es vraiment une honte
A shooter dans ta canette tout autour de la place
Et à chanter
On va, on va te/vous secouer
On va, on va te/vous secouer
Mon pote, tu es un jeune homme, un homme dur
A hurler dans la rue que tu vas conquérir le monde un jour
Tu as du sang sur le visage
Toi, t'es vraiment une honte
A brandir ta bannière tout autour de la place
On va, on va te/vous secouer
Chantez !
On va, on va te/vous secouer
Mon pote, tu es un vieil homme, un pauvre homme
A plaider du regard que tu connaîtras
La paix un jour
Tu as de la boue sur le visage
Toi, t'es vraiment une honte
On ferait mieux de te remettre à ta place
On va, on va te/vous secouer
Chantez !
On va, on va te/vous secouer
Tout le monde !
On va, on va te/vous secouer
On va, on va te/vous secouer
Bien !
Nous sommes les champions
J'ai fait ma part
Petit à petit
J'ai effectué ma peine
Mais n'ai commis aucun délit
Et, de mauvaises fautes,
J'en ai pas fait beaucoup
J'ai eu ma part de boue
Crachée au visage,
Mais je m'en suis sorti.
Et nous avons bien l'intention de continuer, continuer,
De continuer, de continuer..
Nous sommes les champions, mes amis.
Et nous lutterons
Jusqu'à la fin
Nous sommes les champions
Nous sommes les champions
Pas de temps pour les perdants
Car nous sommes les champions du monde.
J'ai fait mes saluts
Et mes rappels
Vous m'avez procuré gloire et fortune
Et tout ce qui va avec,
Merci pour tout.
Mais ça n'a pas été tout rose
Pas une partie de plaisir
Pour moi c'est un défi devant
Toute le race humaine
Et je ne vais pas le perdre.
Et nous avons bien l'intention de continuer, continuer,
De continuer, de continuer..
Nous sommes les champions, mes amis
Et nous continuerons de nous battre
Jusqu'à la fin
Nous sommes les champions
Nous sommes les champions
Pas de temps pour les perdants
Car nous sommes les champions du monde.
Nous sommes les champions, mes amis
Et nous continuerons de nous battre
Jusqu'à la fin
Nous sommes les champions
Nous sommes les champions
Pas de temps pour les perdants
Car nous sommes les champions du monde.
Une crise cardiaque pure et simple
Bon, tu n'as que 17 ans, et tout ce que tu veux, c'est disparaître
Tu sais ce que je veux dire, il y a beaucoup d'espace
Entre nos oreilles
Quand tu touches quelqu'un, on se sent rien
Hey, hey, hey, hey, c'était l'ADN
Hey, hey, hey, hey, qui me rendait ainsi
Savez-vous, savez-vous, savez-vous, comment je me sens ?
Savez-vous, savez-vous, savez-vous, comment je me sens ?
(Comme) une crise cardiaque, pure et simple
(Comme) une crise cardiaque, pure et simple
Vraiment cardiaque
Je me sens si désar-désar-désar-désar-désar-désar-désar-désar-désarticulé
Je me sens, je me sens, je me sens, comme paralysé
Ce n'est pas, ce n'est pas, ce n'est pas, ce n'est pas surprenant
Allume la télé, laisse le/la tomber en goutte à goutte dans tes yeux
Hey, hey, hey, hey, c'était l'ADN
Hey, hey, hey, hey, qui me rendait ainsi
Savez-vous, savez-vous, savez-vous, comment je me sens ?
Savez-vous, savez-vous, savez-vous, comment je me sens ?
(Comme) une crise cardiaque, pure et simple
(Comme) une crise cardiaque, pure et simple
Vraiment cardiaque
Je me sens si désar-désar-désar-désar-désar-désar-désar-désar-désarticulé
C'est ainsi que je me sens
Savez-vous, savez-vous, savez-vous, comment je me sens ?
Savez-vous, savez-vous, savez-vous, comment je me sens ?
Savez-vous, savez-vous, savez-vous, savez-vous comment je me sens ?
(Comme) une crise cardiaque, pure et simple
(Comme) une crise cardiaque, pure et simple
Vraiment cardiaque
Morte, morte (1)
(Souvenirs, mes souvenirs)
(Combien de temps pouvez-vous rester)
(Pour hanter mes jours)
Elle est arrivée, sans un sou,
Un bébé sans nom,
Beaucoup de bruit pour rien,
C'est ce qu'elle essaie de dire.
Tant d'histoires mon amour
Nous avons joué à tant de jeux
En traversant chaque périple estival
En traversant chaque précieuse journée.
Tous morts, tous morts,
Tous les rêves que nous faisions.
Et je me demande pourquoi je continue de vivre.
Tous morts, tous morts,
Et moi seul suis épargné
Contrairement à ma douce moitié
Morte,
Et envolée
Morte ….
Morte, morte
Au bout de l'arc-en-ciel
Et j'entends encore sa douce mélodie
Morte, morte
Reviens-moi
Vous savez, ma petite amie est morte
Et envolée.
Les chemins qu'elle suivait sont toujours avec moi
J'y erre tout le temps
Mais, je vous en prie, pardonnez-moi,
Certes, je suis grand, mais encore enfant.
Morte, morte,
Mais je ne devrais pas porter le deuil
Ca arrive à tout le monde un jour
Morte, morte,
Mais, malgré un souffle d'espoir,
Bien sûr je ne peux y croire
Tu es morte
Et envolée
Morte
Et envolée.
(1) Dans cette chanson, Brian May parle de son chagrin à la mort ….. de sa chatte ! Son affection pour son animal est symbolisée par la présence du pronom féminin « She » qu'il utilise pour désigner son chat, qui est donc ici personnifié. L'usage anglais veut que l'animal soit désigné avec le pronom neutre « it ».
Déploie tes ailes Sammy était au bout du rouleau A regarder le programme en boucle. Il savait que c'était le moment. Il s'était décidé A abandonner sa vie inerte. Son patron lui avait dit : « Mon garçon, tu devrais te sortir ces idées folles de la tête Sammy, pour qui tu te prends ? Tu aurais dû balayer l'Emerald bar ». Déploie tes ailes et envole-toi Envole-toi, loin Déploie tes petites ailes et envole-toi Envole-toi, loin. Rassemble tes forces Car tu sais que tu vaux mieux que ça Parce-que tu es un homme libre. Il passe ses soirées seul, dans sa chambre d'hôtel A garder ses pensées pour lui, bientôt il partirait. Espérant être à des années-lumières Rien dans ce monde, rien ne pourrait le faire rester. Depuis tout petit, Il n'a jamais eu de chance. Il n'a jamais rien eu facilement. A présent c'était le moment. Il s'était décidé « Ca pourrait être ma dernière chance ». Son patron lui disait : « Ecoute-moi maintenant mon garçon ! Tu es toujours en train de rêver Tu n'as pas vraiment d'ambition, tu n'iras pas bien loin Sammy, mon garçon, pour qui te prends-tu ? Pourquoi tu n'es pas heureux à l'Emerald bar ? » Alors, trésor, Déploie tes ailes et envole-toi Envole-toi, loin Déploie tes petites ailes et envole-toi Envole-toi, loin. Rassemble tes forces Car tu sais que tu vaux mieux que ça Parce-que tu es un homme libre. Viens, trésor, Vole avec moi. | |
Combattre de l'intérieur Eh, toi, mon garçon, eh, toi Eh, toi, mon garçon, tu penses savoir ce que tu fais Tu penses que tu vas tout arranger Tu n'es qu'une image de plus sur le mur d'un adolescent Tu n'es qu'un pigeon de plus prêt à tomber. Tu dois combattre de l'intérieur Attaquer par derrière Combat de l'intérieur Tu ne peux gagner avec les mains liées Combat de l'intérieur Ooh ooh aah Combat de l'intérieur Jusqu'au bout. Eh, toi, mon garçon, eh, toi Eh, toi, mon garçon, tu penses savoir ce que tu fais ; Tu crois que dehors, dans les rues, c'est la vraie vie Tu n'es qu'une pompe, qu'une pompe à fric de plus Tu n'es qu'un imbécile de plus. Tu dois combattre de l'intérieur Attaquer par derrière Combat de l'intérieur Tu ne peux gagner avec les mains liées Combat de l'intérieur Ooh ooh aah Combat de l'intérieur Ooh, ooh, aah Combat de l'intérieur Jusqu'au bout, jusqu'au bout, jusqu'au bout. | |
Couche-toi, fais l'amour
Couche-toi, fais l'amour
Couche-toi, fais l'amour
Couche-toi, fais l'amour
Couche-toi, fais l'amour
Tu prends mon corps,
Je te mets le feu
Tu dis que tu as faim
Je te donne de la viande
Je te suce l'esprit
Tu me fais exploser la tête
Fais l'amour – (fais l'amour)
Dans ton lit – tout le monde se couche, fait l'amour
Se couche, fait l'amour
Se couche, fait l'amour
Se couche, fait l'amour
Chaque fois que je sens la chaleur monter
Tu veux la faire descendre
Chaque fois que je me sens monter
Tu dis que tu veux redescendre
Tu dis ça suffit
En fait, c'est trop
Chaque fois que – couche-toi, couche-toi
Couche-toi, fais l'amour
Oh, sss, hah …...
Je peux serrer très fort (1) – tu peux me secouer (couche-toi, fais l'amour)
Je le ressens – quand tu me brises (couche-toi, fais l'amour)
Tu peux être si lourd – quand tu me prends (couche-toi, fais l'amour)
Tu peux faire l'amour, tu peux faire l'amour, tu peux faire l'amour, tu peux faire l'amour,
(Couche-toi, fais l'amour)
Tu peux faire coucher tout le monde, faire l'amour
Coucher, faire l'amour
Chaque fois que je me sens monter
Tu dis que tu veux redescendre
Chaque fois que je sens la chaleur monter
Tu dis que tu veux la faire descendre
Tu dis ça suffit
En fait, c'est trop
Chaque fois que j'en ai envie, je me couche
Je me couche, je me couche, je fais l'amour.
Aah, ooh, fais l'amour, fais l'amour, fais l'amour, fais l'amour, fais l'amour,
Aah, oh
Couche-toi, fais l'amour
Couche-toi, fais l'amour
Couche-toi, fais l'amour
Couche-toi, fais l'amour
Chaque fois que je sens la chaleur monter
Tu dis que tu veux la faire descendre
Chaque fois que je me sens monter
Tu dis que tu veux redescendre
Tu dis ça suffit
En fait, c'est trop
Chaque fois que j'en ai envie, je me couche
Je me couche, je me couche
(1) traduction approximative
Dormir sur le trottoir Un, deux, trois Je n'étais rien, qu'un garçon de la ville Ma trompette était mon unique jouet J'en jouais Depuis quasiment ma naissance Mais ça n'intéressait personne. Je dors sur le trottoir Errant de-ci de-là Il m'arrive d'avoir faim Mais je ne veux surtout pas retourner chez moi. Puis, d'un angle de rue, se pointe une limousine Et le sourire le plus large qu'il m'ait été donné de voir « Eh ! Fiston, tu voudrais pas signer Là, sur les pointillés ? » Qu'est-ce que vous dites, à quoi vous jouez, Vous êtes sûr que c'est à moi que vous parlez ? Je dors sur le trottoir Errant de-ci de-là Il m'arrive d'avoir faim Mais je ne veux surtout pas retourner chez moi. Maintenant, je vais vous raconter ce qui s'est passé ... Ils m'ont emmené dans une pièce sans même une table Ils m'ont dit : « joue de la trompette ». J'ai joué aussi bien que je le pouvais Et, bientôt, nous eûmes le disque de l'année. Je devins une légende dans le pays Je jouais devant un million de fans Rien ne manquait Tous les gens ont envie d'écouter On aurait pu croire que j'étais un homme heureux. Et je dormais comme une princesse Je ne me frottais plus à la rue Je n'ai pas faim Et je ne veux surtout pas retourner chez moi. Il faut que je m'amuse … Et à présent on me dit que je suis pas si populaire Et que je dois à l'homme un million de dollars annuels Alors je leur ai dit où ils pouvaient se les mettre Que je viens de la rue Yeah, yeah.... Je retourne jouer dans la rue Je retourne au travail Et je dors sur le trottoir Errant de-ci de-là J'ai faim, c'est certain, et je ne veux surtout rentrer chez moi Ouais …..... |
Qui a besoin de toi ? Pour moi c'est six heures et demi et toi tu arrives à sept heures A toujours essayer de me faire poireauter Toi, petite chose pourrie gâtée, tu m'as toujours fait attendre N'a jamais considéré mon point de vue Cela n'est pas surprenant Je suis un idiot, puisque j'ai cru à tes mensonges Mais à présent je vois à travers ton déguisement Qui a besoin, bon, pas moi, qui a besoin de toi ? Ok, aah........... Oh, je t'ai cru Je me suis mis à genoux pour toi Je t'ai vraiment fait confiance Mais tu m'as rejeté Mais, dans cette foire d'empoigne, C'est à celui qui sera dévoré le premier (1) Et ça te laisse étendu à plat-ventre, en sang Tout en cherchant la main qui te relèvera Où où cette main tendue ? Oh, beaucoup (2), j'aime ça, j'aime ça, mmm, ooh, bon, je n'ai pas besoin de toi. Comme j'ai été malmené « Ne te laisse pas abattre » Tu m'as piétiné « Mais ne cède jamais » Un pas en avant, deux pas en arrière Il existe un sentiment creux que tu ne peux oublier Quand tu recherches (recherches) une main tendue (une main tendue) Quand je t'ai rencontrée, tu était toujours charmante Je ne dormais pas de la nuit jusqu'à ce que tu sois mienne Tu était, oh, si, si, sophistiquée (3) Tu ne t'intéressais jamais à ce que je disais J'ai du ravaler mon orgueil Mais maintenant je suis le seul à décider Qui a besoin, bon, pas moi, qui a besoin de toi ? (1) It's a dog eat dog in this rat race – littéralement : c'est un chien qui mange un chien ….. (2) Dans la chanson, le terme « mucho » est prononcé en espagnol (mucho) (3) Plûtot dans le sens de "superficielle" Il est tard Tu dis que tu m'aimes Et je connaîs à peine ton nom Et si, à la lueur des bougies, Je te dis que je t'aime Je suis le seul à blâmer. Mais quelque chose en moi Qui me détourne l'esprit Woh – comment pourrais-je t'aimer Si je pouvais te faire rester ! Il est tard – et mes entrailles saignent Il est tard – ooh, est-ce seulement l'effet de ma fierté maladive ? Trop tard – même maintenant, ce sentiment semble se dérober Si tard – j'ai beau pleurer, je ne peux m'empêcher de t'entendre dire Qu'il est tard – il est tard – il est tard Mais pas trop tard Mmm, ouais … Ta façon de m'aimer Est l'amour le plus doux qui existe Mais après tout ce temps Plus j'essaie, Plus j'ai l'impression de te laisser tomber, oui A présent tu me dis que tu t'en vas Et je ne peux tout simplement pas le croire Oh, tu sais que je suis capable de t'aimer Même si je sais que je peux être infidèle Oh, tu m'as rendu amoureux Ne me dis pas que c'est fini Il est tard – mmm, et ça me rend vraiment malade Il est tard – oui, je sais, mais n'essaie pas de me dire Qu'il est trop tard – sauve notre amour, tu ne peux pas éteindre la lumière Si tard – j'ai eu tord mais j'apprendrais à être correct Il est tard – il est tard – il est tard Mais pas trop tard Mmm, j'essaie depuis longtemps Tu essaies depuis longtemps Depuis si longtemps, nous essayons de nous en sortir Je ne vais pas tarder Tu ne vas pas tarder Nous devons apprendre ce qu'est la vie, ooh Dis-le moi Essayons de nous en sortir, ouais, ooh... Ooh, trop tard, ouais, trop tard, beaucoup trop tard Tu me fixes D'un air suspect dans le regard Tu me demandes à quel jeu je joue ? C'est bien ce que tu es en train de me demander ? Je sais que je ne peux pas répondre Si ce soir je te prends Est-ce que cela fait de ma vie un mensonge ? Oh, tu m'amènes à me demander Si j'ai vécu ma vie correctement ? Il est tard – ooh, mais il est temps de me libérer Il est tard – ooh, oui je sais, mais il y a pas de règles Trop tard – alors laisse le feu embraser nos corps ce soir Si tard – laisse les eaux emporter notre culpabilité Il est tard – il est tard – il est tard – il est tard Il est tard – il est tard – il est tard Mon blues de mélancolie Une fête de plus se termine, Et je ne suis pas du tout ivre. Mon amour m'a laissé pour quelqu'un d'autre Je n'ai pas envie d'en parler Je veux oublier. J'ai envie de m'intoxiquer à ce breuvage spécial Alors viens me chercher. Laisse-moi Me couler dans ce sentiment de naufrage Qui conforte mon cœur dans cette période de déprime Alors ne compte pas sur moi Pour que je me comporte comme il faut Et que j'arbore ce radieux sourire Je crois que je suis couvert de nuages N'essaie pas de m'arrêter Car je me dirige tout droit vers ce climat orageux Je provoque une légère sensation Avec cette nouvelle occupation Je suis collé en permanence A cette humeur extraordinaire, alors bouge de là Et laisse-moi moi me retrouver Avec mon blues de mélancolie Je provoque une légère sensation Avec cette nouvelle occupation Je suis aux infos Je m'habitue juste à ma nouvelle publicité Je m'enferme dans J'entre dans mon enclos Et y rencontre mon blues de mélancolie. |