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Album Disintegration


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Les titres
 
 
PLAINSONG
Plain-chant
 
« Je crois qu'il fait sombre et on dirait qu'il pleut »
Disais-tu,
« Et le vent souffle comme si c'était la fin du monde »
Disais-tu,
« Et il fait si froid
Comme le froid quand tu es mort »
Et puis tu a souris
Pendant une seconde.
 
« Je crois que je suis vieux et je souffre »
Disais-tu,
« Et il pleut à verse comme si c'était la fin du monde »
Disais-tu,
« Et il fait si froid, comme le froid quand tu es mort »
Et puis après tu a souris
Pendant une seconde.
 
Parfois tu me donnes l'impression
Que je vis à l'orée du monde
Que je vis à l'orée du monde
« Ça vient de ma façon de sourire »
Disais-tu.
 
 
THE SAME DEEP WATER AS YOU
La même eau profonde que toi
 
Donne-moi un baiser d'adieu
En sortant, avant que je ne ferme les yeux.
Ne vois-tu pas que j'essaie ?
Nager dans la même eau profonde que toi est difficile.
« Les noyés de faible profondeur ont moins à perdre que nous ».
Tu respires
Sur tes lèvres, la plus étrange des torsions
« Et nous devrions être ensemble ... »
 
« Donne-moi un baiser d'adieu
Penche la tête et rejoins-moi ».
Et, le visage profondément enfoui,
Les reflets rencontrent
Sur tes lèvres la plus étrange des torsions,
Puis disparaissent.
 
Les ondulations se dissipent
Et, en riant,
Se brisent à tes pieds
Et, en riant,
Brisent le miroir doucement
« Nous devrions être ensemble ... ».
 
« Donne-moi un baiser d'adieu »
En sortant, avant que je ne ferme les yeux.
De plus en plus bas, de plus en plus lentement,
La plus étrange des torsions sur tes lèvres,
Mais je ne la voie pas,
Et je ne la ressens pas,
Mais, en silence, je plaque fermement les mains sur mes yeux qui s'éteignent
Et, dans mes yeux,
Ton sourire
La toute dernière chose avant de partir ….
 
Je t'embrasserai, je t'embrasserai
Je t'embrasserai à jamais, les nuits comme celles-ci
Je t'embrasserai, je t'embrasserai
Et nous serions ensemble …
 
 
 
CLOSEDOWN
Fermeture
 
Je manque de temps
Je suis en décalage
Et je me ferme
Et je ne dors jamais pendant les heures de désir
Les heures d'avidité creuses
Et, inutilement,
Toujours le besoin
De ressentir la véritable croyance
De quelque chose de plus que la moquerie
Si seulement je pouvais
Emplir mon cœur d'amour.
 
 
LOVESONG
Chanson d'amour
 
Chaque fois que je suis seul avec toi
Tu me donnes l'impression de revenir chez moi.
Chaque fois que je suis seul avec toi
Tu me donnes l'impression de revenir chez moi.
 
Chaque fois que je suis seul avec toi
Tu me donnes l'impression que je rajeunis.
Chaque fois que je suis seul avec toi
Tu me donnes l'impression de retrouver ma fantaisie.
 
Même éloignés,
Je t'aimerai toujours.
Peu importe combien de temps je resterai,
Je t'aimerai toujours.
Quelques soient les mots que je dirai,
Je t'aimerai toujours,
Je t'aimerai toujours.
 
Chaque fois que je suis seul avec toi
Tu me donnes l'impression de retrouver ma liberté.
Chaque fois que je suis seul avec toi
Tu me donnes l'impression d'être de nouveau purifié.
 
Même éloignés,
Je t'aimerai toujours.
Peu importe combien de temps je resterai,
Je t'aimerai toujours.
Quelques soient les mots que je dirai,
Je t'aimerai toujours,
Je t'aimerai toujours.
 
 
LULLABY
Berceuse
 
Sur des jambes rayées arrive l'homme-araignée,
Doucement, dans l'ombre du soleil couchant,
Il se déplace à pas de loup,
Devant les fenêtres des morts bienheureux.
Il cherche sa victime frissonnante dans son lit
Qui découvre  alentour la peur dans les ténèbres
Et, soudain !
Quelque chose bouge à l'angle de la pièce !
Et je suis impuissant
Quand je me rend compte avec effroi
Que l'homme-araignée ce soir m'a choisi pour son repas !
 
Tout doucement il rit et secoue la tête
Il s'approche de moi en rampant,
Il se rapproche vers le pied du lit
Et plus doucement qu'une ombre et plus vite que les mouches,
Ses bras m'entourent, et sa langue entre dans mes yeux.
 
« Reste tranquille, reste calme, ne bouge pas mon précieux garçon
Ne te débats pas ainsi sinon je n'en t'aimerai que davantage
Car il est bien trop tard pour s'enfuir ou allumer la lumière,
L'homme-araignée va te manger ce soir ».
 
Et j'ai l'impression d'être englouti
Par un milliard de trous velus et frétillants
Et je sais que, au petit matin, je me réveillerai
Dans le frisson du froid.
 
Et l'homme-araignée a toujours faim ….
 
 
FASCINATION STREET
Rue de la Fascination
 
Oh, rue de la Fascination.
C'est l'heure de l'ouverture
Alors coupons court à la conversation
Et allons prendre un peu l'air
Car je sens que tout dépérit et devient pâle
Et je te prie
De venir traîner avec moi
Pour mettre la touche finale (1)
Ouais ! J'aime bien quand tu fais ça
Tout comme j'aime bien quand tu hurles
Mais si tu ouvres la bouche
Je ne peux pas être responsable
De ce qui y entre
Ou me soucier de ce qu'il en sort
Alors tire-toi les cheveux,
Fais la moue,
Et suis le rythme,
Comme nous savons que c'est fini
Si tu glisses quand tu t'enfonces,
Si tu glisses par-dessus mon épaule,
Alors tire sur ton visage,
Tire sur tes pieds
Et en route pour le commencement,
Rue de la Fascination.
 
Alors tire-toi les cheveux,
Fais la moue,
Coupe court à la conversation
Ouvre la bouche
Fais la moue,
Alors tire sur ton visage,
Tire sur tes pieds
Et en route pour le commencement,
Rue de la Fascination.
 
(1) cette traduction peut être approximative
 
 
 
PRAYERS FOR RAIN
Des prières pour la pluie
 
Tu me casses en mille morceaux,
Tu t’agrippes à moi,
Une emprise sur moi
Si ennuyeuse qu'elle tue.
Tu m'étouffes,
Une sensation infectieuse
De désespoir et
De prières pour la pluie.
Je suffoque,
Je respire de la saleté.
Et nulle part ça ne brille
Mais elles sont désolées
Et mornes toutes les heures passés
A toujours tuer le temps,
A attendre la pluie.
 
Tu me fractures,
Tes mains sur moi,
Un contact si ferme,
Si éventé qu'il tue.
Tu m'embrouilles
Dans le désespoir et
Les prières pour la pluie
Je me détériore
Je vis dans la crasse
Et nulle part ça ne brille
Mais elles sont tristes et fatiguées
Toutes les heures passées
A toujours tuer le temps,
A attendre la pluie.
 
 
PICTURES OF YOU
Des photos de toi
 
J'ai tellement regardé ces photos de toi
Que j'en arrive presque à croire qu'elles sont vraies.
Je vis depuis si longtemps avec mes photos de toi
Que j'en arrive presque à croire qu'il n'y a que les images
Que je peux ressentir.
 
Je me souviens
De toi, tranquille sous la pluie
Pendant que je courais vers ton cœur, pour me rapprocher.
Et nous nous sommes embrassés quand le ciel est tombé
Et moi je t'enlaçais.
Comme dans ta peur, je me tenais toujours près !
Je me souviens de toi
Quand tu courais doucement dans la nuit
Tu était plus grande, plus étincelante et plus étendue que la neige
Et tu hurlais à l'imagination
Tu hurlais aux cieux
Et tu as finalement trouver le courage
De tout laisser filer.
 
Je me souviens de toi
Quand tu tombais dans mes bras
En pleurant, blanche comme un linge
Si délicate,
Perdue dans le froid.
Tu étais toujours si éperdue dans le noir.
Je me souviens
De toi et de ta façon
De te noyer lentement
Tu étais comme les anges
Bien plus que tout autre chose
Tenu pour une dernière fois, puis qui glisse lentement
J'ouvre les yeux
Mais je ne vois rien.
 
Si seulement j'avais pensé aux mots qu'il fallait
J'aurais pu m'accrocher à ton cœur
Si seulement j'avais pensé aux mots qu'il fallait
Je n'aurais pas déchiré en mille morceaux
Toutes mes photos de toi.
 
J'ai tellement regardé ces photos de toi
Sans jamais m'accrocher à ton cœur
J'ai si longtemps cherché les mots qu'il fallait
Tout en déchirant en mille morceaux
Mes photos de toi.
 
Il n'y eu rien au monde
Que je n'ai autant désiré
Que de te sentir aux fins fonds de mon cœur.
Il n'y eu rien au monde
Que je n'ai autant désiré
Que de ne jamais ressentir le déchirement
De toutes mes photos de toi.
 
 
 
 
DISINTEGRATION
Désintégration
 
Oh, le baiser de la traîtrise me manque
Le baiser éhonté de la vanité
La douceur, la noirceur et le velouté
Crispés tout contre moi.
La bouche, les yeux et le cœur tout saignants
Qui courent dans les épais courants de l'avidité
Tandis que peu à peu émerge le besoin
De laisser aller
Mon habituel numéro.
 
Oh, le baiser de la traîtrise me manque,
Le baiser douloureux avant que je nourrisse
La puanteur d'un amour pour une viande plus jeune.
Et le son que ça fait
Quand ça coupe en profondeur
Le maintien à genoux
L'addiction des duplicités,
Tandis que peu à peu émerge le besoin
De laisser aller
Mon habituel numéro.
 
Mais je n'ai jamais dit que je resterai jusqu'à la fin
Alors je te laisse avec des bébés et tes espoirs de fréquence
Hurler ainsi dans l'espoir des secrets
Me hurler dessus, encore et encore
Je te laisse avec des photographies
Des images de tromperie
Des taches sur le tapis et
Des taches sur le paysage
Des chansons sur le bonheur murmurées en rêve
Quand tous deux savions
Comment tout cela finirait ...
 
Alors tout ressurgit pour se disperser de nouveau
Se disperser comme moi, qui suis fait de verre
Ça se fomente derrière mon dos de nouveau
Je retiens mon souffle par peur de me rendormir
Je le garde derrière ma tête
Je le cisaille au cœur de l'os de nouveau
Tout autour tout autour tout autour
Et ça se disperse de nouveau
Encore encore et encore.
 
Maintenant que je sais que je suis en mille morceaux
J'extirperai mon cœur
Et le donnerai à manger à quiconque
Implore la sympathie.
Les crocodiles pleurent pour l'amour de la foule
Et les trois applaudissent tous ceux
Qui tombent à travers le ciel,
A travers le verre du toit,
A travers le toit de ta bouche,
A travers la bouche de ton œil,
A travers l’œil de l'aiguille.
C'est plus facile pour moi de me rapprocher du paradis
Que de tout ressentir à nouveau.
 
Je n'ai jamais dit que je resterai jusqu'à la fin
Alors je te laisse avec des bébés et tes espoirs de fréquence
Hurler ainsi dans l'espoir des secrets
Me hurler dessus, encore et encore
Je te laisse avec des photographies,
Des images de tromperie,
Des taches sur le tapis et
Des taches sur le paysage,
Des chansons sur le bonheur murmurées en rêve
Quand tous deux savions
Comment tout cela finirait …
 
Comment tout cela finirait …
 
 
UNTITLED
Anonyme
 
Désespérément je dérive
Encore dans les yeux du fantôme
A genoux
Et les mains encore levées
J'enfonce mon visage dans le souvenir que j'ai de toi
Mais je ne sais jamais s'il est réel
Je ne sais jamais comment je voulais me sentir
Je ne t'ai jamais vraiment dit ce que je voulais te dire
Je n'ai jamais vraiment trouvé les mots pour t'expliquer
Je n'ai jamais vraiment su comment les rendre crédibles
Et à présent le temps est révolu
Un temps de plus inachevé
A combattre désespérément le démon,
La futilité.
Je ressens le monstre
Qui monte de plus en plus en moi
Je le sens qui grignote mon cœur
Avec gloutonnerie
Je ne perdrai jamais cette douleur
Je ne rêverai plus jamais de toi.
 
 
LAST DANCE
Dernière danse
 
Je suis si heureux que tu sois venue
Je suis si heureux que tu te sois souvenu
De la façon dont notre danse ensemble s'est terminée.
Dans l'expectative,
Trop ponctuelle,
Mais plus jolie que jamais
Je croyais vraiment que ce moment serait éternel.
 
Mais elle est plus âgée que moi maintenant
Plus stable,
Plus terre à terre,
Et la fourrure, la bouche et l'innocence
Ont tourné à l'indifférence et la satisfaction
Qui s'accroche à l'humiliation
La femme a désormais remplacé la jeune fille.
 
Je suis si heureux que tu sois venue
Je suis si heureux que tu te sois souvenu
De nos escapades en plein cœur du mois de décembre,
De l'insouciance du bonheur,
Des éclats de rires,
Et je pensais vraiment que ce moment serait éternel.
 
Mais Noël arrive plus tardivement à présent,
Plus terne et plus froid
Et jamais aussi joyeux que du temps où nous faisions tomber
Tout ça en un instant
Avant que je ne t'embrasse.
La femme a désormais remplacé la jeune fille.
 
Je suis si heureux que tu sois venue
Je suis si heureux que tu te sois souvenu
De la façon dont notre danse ensemble s'est terminée,
A contre cœur,
Prudemment,
Mais plus jolie que jamais
Je pense vraiment que cette fois, c'est pour toujours.
 
Mais Noël arrive plus tardivement à présent,
Plus terne et plus froid
Et jamais aussi joyeux que du temps où nous tombions
Et même si nous buvons
Je ne crois pas que nous nous embrasserions comme avant
Du temps où la femme
N'était qu'une jeune fille.
 
 
HOMESICK
Nostalgique
 
Eh ! Eh !
Un de plus, et je m'en vais
Tout ce que tu gagnes,
N'est rien aujourd'hui
Et j'oublie comment bouger
Quand ma bouche est si sèche
Et que mes yeux font éclater les cœurs
Dans un ciel taché de sang.
 
Oh, c'était doux,
C'était si fou,
Et oh, combien nous …
Je tremblais
Piégé dans le miel
Le miel
S'accroche à moi ….
Alors rien qu'un seul de plus
Un seul de plus,
Inspire en moi le désir en moi
De ne jamais rentrer chez moi.
 
Un de plus, et je m'en vais
Tout ce que tu gagnes,
N'est rien aujourd'hui
Alors rien qu'un seul de plus
Un seul de plus,
Inspire en moi le désir en moi
De ne jamais rentrer chez moi.
 
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