Gazpacho Cannibal Surf Babe Beautiful Afraid Of Sunrise Out Of This World Afraid Of Sunlight Beyond You King Bonus tracks : Icon Live Forever Mirages
Gaspacho
Je t'ai vu marcher sur ta pelouse de velours
Est-ce qu'on se sent seul sur la lune ?
Tu as plongé et avalé tout ce que tu pouvais
As-tu trop bu et trop vite ?
Tu n'as plus rien à combattre
Et personne ne veut te voir essayer
Les plus proches voisins sont à un kilomètre
L'océan t'entend-il pleurer ?
En trouant le ciel
On dit que le King relâche son emprise.
On dit que tu es à l'épreuve des balles,
On dit que tu ne ressens aucune douleur
On dirait que le héros est incompris de nouveau.
Est-ce l'amour ou est-ce la chirurgie
Qui la fait se sentir si bien dans sa peau ?
Tout en te priant de bien vouloir te calmer,
Son Armani en soie sur les genoux.
As-tu mis à exécution ces menaces que j'ai entendues,
Ou l'as-tu simplement jouer macho ?
Et les taches sur son foulard Versace,
Ce n'était vraiment que du gaspacho ?
On dit que le King assure ses arrières
On dit que le King relâche son emprise
Déchaîné comme un taureau dans une arène vide
Pensez-vous qu'ils vont tout pardonner à un héro ?
A présent le ring n'est plus qu'une bande d'or
Et ta femme a besoin de la protection de la police
Tout en vaquant avec les journalistes
Tu essaies de regagner son affection
C'est ça, être un homme ?
Montrer son émotion en cognant ?
Elle est partie à présent et tu es seul finalement,
Tu peux le dire à l'océan.
On dit que le King relâche son emprise
On dit que le King compte les jours qui lui restent.
De toute ta vie, tu n'as jamais perdu un combat
Tu n'as jamais eu de soucis pour t'endormir
La bouteille et le docteur t'aident à passer tes journées,
Les mecs qui dirigent la maison font ce qu'il faut.
Tu crois qu'on pardonne tout à un héro
A Hollywood, peut-être.
Mais avant c'était le cas, peut-être.
Maintenant le ring n'est plus qu'une bande dorée
Trace la route.
Surf cannibale, chéri
Faisons-nous face et battons-nous.
Elle m'a attaché à la tête de lit avec une fixation de surf
Et ses cheveux mouillés frôlaient son corps comme un ami de longue date
Et j'ai vraiment fait de mon mieux pour lui faire comprendre
Mais rien de ce qu'elle dirait ne pourrait se défendre.
Son costume d'Eve a été son seul cadeau
Quand je fixais son regard - pas d'histoire
Et je lui ai dit que manger des gens était désagréable
Mais elle éclata d'un rire aux yeux de serpent et s'est détachée de moi.
Je la regardais marcher sur les charbons ardents,
Je la regardais marcher sur les charbons ardents.
Elle chantait : je suis née en 1960 - bizarre
Et je suis ta surfeuse de cauchemar, chéri
Monsieur Wilson, où est votre bac à sable et votre nounours ?
" Toujours à la recherche du parfait micro-ondes ?"
Alors j'ai vraiment fait de mon mieux pour lui faire comprendre
Je lui ai dit : " Tout caillou finit toujours par s'échouer sur la plage"
Et j'ai embrassé son visage et l'ai tenue dans mes bras, comme un ami de longue date
Mais elle était trop loin pour qu'on l'atteigne
Pour qu'on l'atteigne
Elle était bien trop ailleurs.
Elle chantait : je suis née en 1960 - bizarre
Et je suis ta surfeuse de cauchemar, chéri
Monsieur Wilson, où est votre bac à sable et votre nounours ?
" Toujours à la recherche du parfait micro-ondes ?"
Le soleil s'est levé sur la montagne
Les vagues roulaient dans la baie
Les oiseaux d'une couleur fabuleusement éclatante fuyaient la forêt
Et elle me disait : " Nous sommes tous de beaux enfants de l'Eden
Qui vivent ensemble au paradis
Allonge-toi mon amour …. tu vas apprécier ".
On aurait dit qu'elle avait couché
Avec un Tyrannosaurus Rex
Elle chantait : je suis née en 1960 - bizarre, mon vieux
Et je suis ta surfeuse de cauchemar, chéri
Monsieur Wilson, où est votre bac à sable et votre nounours ?
" Toujours à la recherche du parfait micro-ondes ?"
Et je la regardais marcher sur des charbons ardents ...
Le soleil s'est levé sur la montagne
Les vagues roulaient dans la baie
Les oiseaux d'une couleur fabuleusement éclatante fuyaient la forêt
Et elle me disait : " Nous sommes tous de beaux enfants de l'Eden
Qui vivent ensemble au paradis
Allonge-toi mon amour …. tu as apprécié ".
Tout le monde sait que nous vivons dans un monde
Où l'on donne de vilains mots à de belles choses.
Tout le monde sait que nous vivons dans un monde
Dans lequel nous n'accordons pas un deuxième regard aux belles choses.
Seuls les cieux savent que nous vivons dans un monde
Où ce que nous qualifions de beau est à vendre.
Les gens pour rire se cachent avec leurs mains
Tandis qu'au fragile et au sensible, on ne donne aucune chance.
Et les feuilles passent du rouge au brun
Pour être écrasées
Pour être écrasées
Et les feuilles passent du rouge au brun
Et tombent
Elles tombent.
On ne doit pas vivre dans un monde
Où l'on donne de vilains mots aux belles choses
On devrait vivre dans un monde beau
On devrait donner une seconde chance à ce qui est beau.
Et les feuilles passent du rouge au brun
Pour être écrasées
Pour être écrasées
Et les feuilles passent du rouge au brun
Et tombent
Pour être dispersées avec nos pieds.
Es-tu assez fort pour exister ?
As-tu le courage d'être ce que tu es ?
As-tu la foi pour exister ?
Assez honnête pour rester ?
Tu dois changer
Tu ne dois pas être ainsi
Viens apposer ton nom
Es-tu assez rebelle pour rester beau ?
Beau.
Et les feuilles passent du rouge au brun
Pour être ensuite écrasées
Ecrasées.
Nous tombons encore vert, puis rouge, puis brun (1).
On tombe par terre
Mais on ne peut rien changer.
Tu es assez fort pour exister.
Pourquoi tu ne te lèves pas pour parler ?
Pose-toi un moment
Ils se moqueront de toi de toutes façons
Alors pourquoi tu ne te lèves pas
Et pourquoi ne serais-tu pas beau ?
Noir, blanc, rouge, jaune et brun
Nous sommes coincés dans ce monde,
Nulle part où aller,
On tourne en rond.
Pourquoi es-tu si terrifié ?
Montre-nous de quoi tu es fait
Sois toi-même et sois beau
Soit beau.
(1) cette traduction n'est peut-être pas exacte
La peur de l'aube
Vêtus de noir, sans nous retourner
Faisant abstraction du monde sur la Grande Route Blanche
Les doigts dans la fêlure du désir
On traverserait les ponts et les tunnels,
Pour pénétrer au jour.
Abandonnés au sel de la peau,
Abandonnés à l'autoroute,
Le sable s'écoulant dans le sablier,
La chaleur du cuir et des mirages.
Comment en sommes-nous arrivés à craindre le soleil ?
Comment en sommes-nous arrivés à craindre le soleil ?
Un Jésus phosphorescent sur le nuage,
Le grillage qui marque au bout de la route,
Un sympathique feu dans des eaux hostiles,
Garde la foi, garde la tête froide,
Garde la tête froide.
Comment en sommes-nous arrivés à craindre le soleil ?
Craindre le soleil ?
Fleur d'agave,
Dors à mes côtés,
Pendant que je conduis
Vers le Nevada brûlant
Vers le Phoenix levant
Pendant que je conduis
Vers le soleil.
Un Jésus phosphorescent sur le nuage
Le grillage qui marque au bout de la route
Un sympathique feu dans des eaux hostiles,
Garde la foi, garde la tête froide,
Garde la tête froide.
Comment en sommes-nous arrivés à craindre le soleil ?
Craindre le soleil ?
Hors de ce monde
Trois cent miles à heure sur l'eau
Dans ta machine construite à cet effet.
Personne n'osait appeler un bâteau
En hurlant leur désarroi
Hors de ce monde.
Faire l'histoire
C'est ton jour
Oiseau bleu.
A de telles vitesses, les choses volent.
Qu'a-t-elle dit ?
Je connais la douleur du trop-plein de tendresse
A se demander quand ou si tu reviendrais
De vouloir vivre pour toi
Et de n'avoir pas le droit de donner.
Mais seul l'amour te fera te retourner
Seul l'amour te fera te retourner
Seul l'amour.
Seul l'amour te fera te retourner.
Nous vivons toi et moi
De l'autre côté du bord
Nous courons, et nous hurlons
Avec le regard dilaté
De l'obsession et du rêve.
Mais bon sang, que veut-on ?
Est-ce uniquement aller
Là où personne n'a jamais mis les pieds ?
Plus efficacement qu'une horde
Je chante une autre chanson
Jusqu'à ce que tu cours sur la corniche
Vers le souffle coupé de la foule
En ressassant dans ta tête
Tout ce qu'elle t'a dit.
Peur du soleil
Je trace la route vers ton abandon
Le temps me file …. entre les doigts
Des petits bateaux sur la place au bout de la nuit
Vont et viennent avant les premières lueurs du jour.
Laisse-moi courir dans la roue,
Roi du monde
Comment te sens-tu ?
Que ressent-on là-bas ?
Comment en sommes-nous arrivés à craindre le soleil ?
Dis-moi, jeune fille, pourquoi toi et moi
Avons peur du soleil ?
Je souffre depuis si longtemps
Que je ne peux même plus dire ce qui fait souffrir
Je te laisserai seule
Je serai dans le déni
Je te laisserai saigner
Je te laisserai, avec ta vie.
Comment en sommes-nous arrivés à craindre le soleil ?
Dis-moi, jeune fille, pourquoi toi et moi
Avons peur du soleil ?
Tous tes abus de tourments
Chaque jour reviennent te hanter
Toutes tes excuses byzantines
A un moment, t'ont abandonnée.
Ne sois pas surprise quand l'aube pointera son nez
Pour découvrir que ce souvenir vient te chatouiller (1)
Tu leur diras où nous courons nous cacher
Je suis déjà mort
C'est une question de temps.
Comment en sommes-nous arrivés à craindre le soleil ?
Dis-moi, jeune fille, pourquoi toi et moi
Avons peur du soleil ?
Un Jésus phosphorescent sur le nuage
Le grillage qui marque au bout de la route
Un sympathique feu dans des eaux hostiles,
Garde la foi, garde la tête froide,
Comment en sommes-nous arrivés là ?
(1) littéralement, l'expression "by the pricking of my thumbs", signifie "mon petit doigt m'a dit". La traduction proposée en contexte peut être approximative.
Te dépasser
Si tu étais un bébé, je t'attraperais,
Et on s'enfuirait.
Je pourrais te cacher dans les plis de mon cœur
Dans la folie, il est une vérité que je ne peux dépasser,
Et une fièvre qui ne veut pas me quitter.
Je ne veux pas de mon cœur
Je ne veux pas de ma tête
Je ne veux pas d'amis
Je ne veux pas de mon lit
Je ne peux pas vivre avec moi-même
Je ne peux pas vivre avec moi-même
Je ne peux accepter aucune aide
J'essaie pourtant,
Mais impossible de te dépasser.
Depuis la fenêtre, je contemplerai
Les figures formées par la pluie,
Tandis que l'espace entre nous me rend fou.
Je ne peux pas vivre avec moi-même
Je ne peux pas vivre avec moi-même
Je ne peux accepter aucune aide,
Je ne veux personne d'autre.
Si j'étais un enfant
Je refuserais de partir
Je m'assiérais dans la rue
Je trépignerais des pieds et hurlerais.
Je manque de virilité,
Mais qui je suis, ça, je le sais.
Je sais que cela ne cessera jamais.
Je ferai semblant d'être fort
Mais je me demanderai où est ma place.
Et le sensation vient par vagues,
Un trou dans mon corps, qui fait mal
Comme un cœur desséché
Une âme qui pleure,
Epuisée, et en insécurité.
Je t'ai pris tout ce que tu as, et j'en veux encore plus
Alors je tends les bras pour t'attraper
Mais je ne fais que te blesser,
Te blesser.
Je ne peux pas vivre avec moi-même
Je ne peux pas vivre avec moi-même
Je ne peux accepter aucune aide
J'essaie pourtant,
Mais impossible de te dépasser.
Si j'étais un enfant, je t'attraperais
Et on s'enfuirait.
Et je dirais que je ne sais pas … mais je sais.
Et je dirais que je m'en vais
Tu as passé toute la journée
Dans ta voiture, pour t'éloigner.
Le roi
Combien de temps peux-tu rester
A te raidir ?
A éviter le combat,
A éviter la vérité,
A te crisper le sourire,
A retenir le mensonge ?
Auras-tu ce que tu veux
Pour être maudit(e) avec tes rêves ?
J'espère pour toi
Que quelque chose coince.
Combien de temps peux-tu rester
A vivre sous l'objectif,
Le baiser du succès,
Et tout le bazar qui s'ensuit, dévorant ?
Message d'amour,
Ils arrivent tous les jours
Les gens que tu touches
Qui dépérissent
Des gens que tu ne connais pas
Qui ne te donnent pas le choix.
Et tu as mal à l'estomac
Au son de ta voix
Et la forme de ton visage,
Le son de ton nom,
T'envoient des photos de toi.
C'est quelqu'un que tu ne connais pas
Et ils te prennent pour un génie
Car tu es plus facile à vendre
Mais le feu dans ton ventre
Qui t'a donné les mélodies
Est soudain parti.
Et tu ressens comme une imposture
Est-ce ce que tu veux ?
J'espère pour toi
Que tu as tout ce qu'il faut
Que tu as tout ce qu'il faut
Pour être gangréné jusqu'à la mort.
L'icône
Même si les bons vieux jours étaient bons
Même si les vieux jours étaient des jours glorieux
Même si les bons vieux jours étaient bons
Le passé est un terrible endroit
Le passé pour vivre est un terrible endroit.
Des missiles mal contrôlés,
Des cosmétiques et des voitures
Chargés de rêves,
Chargés de rêves.
Des jeux vidéo,
De jolies visages,
Chargés de vie,
Chargés de munitions de vie.
Même si les bons vieux jours étaient bons
Le passé est un terrible endroit,
Le passé est un terrible endroit pour vivre.
En économisant pour Linda,
En économisant pour Pam,
En économisant pour Naomi
Une icone par conséquent je suis.
En économisant pour Marie,
En économisant pour Jeanne,
Un millier de débris éparpillés dans la pièce
Refaisons tout
Une icône par conséquent je suis.
Chargé de rêves,
Chargé de vie,
Je suis chargé de munitions de vie.
Chargé(e)s de rêves,
Chargé(e)s d'histoires
Chargé(e)s de la vie
Je regrette seulement de ne pas t'avoir connu.
Comme c'est dur pour moi t'épargner
Ce genre de choses pour toi
Si tu ressens un écran de fumée ici,
C'est un truc de glace carbonique,
Un truc d'œil sec.
Vivre éternellement
Ok, j'ai laissé tombé la coke et j'ai laissé tombé la poudre,
J'ai arrêté de boire de l'alcool et de fumer du crack
J'ai arrêté de vivre en me disant "jamais, jamais"
Mais je ne peux pas cesser de croire de je vivrais éternellement.
Ok, j'ai laissé tombé les jeux vidéos et je ne mange plus de viande
J'ai arrêté de regarder la télé dans mon fauteuil préféré
J'ai arrêté de porter de la fourrure et j'ai arrêté de porter du cuir
Mais je ne peux pas cesser de croire que je vivrais éternellement.
Laisse tomber, laisse tomber,
Tu ne sais pas ce que tu as à perdre ?
Les souhaits avec lesquels tu es né
Et le talent dont tu abuses.
Laisse tomber, laisse tomber,
Il y a mieux à vivre,
Laisse tomber, laisse tomber,
Donne tout ce que tu as à donner.
Ok, j'ai arrêté le sucre et j'ai arrêté de manger épicé
J'ai arrêté tout ce qui fait du bien
Car je sens que ces addictions
Sont une chaîne qu'on doit briser.
Je suis accro à la pensée
Que je vais vivre éternellement.
Des mirages
L'absence rend le cœur malade
Toutes les choses solides deviennent des mirages
Les valeurs sûres,
Du sable s'écoulant dans le sablier,
Qui s'échappe.
Je crie en courant le long du rebord,
Tandis que les fenêtres se referment.
Je fais le tour en courant pour prouver au lever du jour
Que je crois en la foi
Mais c'est d'une preuve dont j'ai besoin
Peux-tu me montrer que c'est moi ?
Peux-tu me montrer que c'est moi ?
Les voyages font vaciller l'esprit
Tous les visages hors du commun s'effacent
Ils tournoient comme une vague de chaleur
Et brillent de tous leur éclat.
Envoie des Polaroids, si tu le veux bien
Ou une oreille dans le poste,
Une carte au trésor,
Une clé pour la fermeture.
J'ai besoin de toi comme l'enfer
Peux-tu à nouveau m'aider
Peux-tu me montrer que c'est moi
Peux-tu me montrer que c'est moi ?
Je me dessèche,
Je m'épuise,
Je me refroidis,
J'ai besoin d'aide,
Tandis que j'essaie de prouver l'existence de l'aube
Tandis que j'essaie de prouver l'existence des marées
Tandis que j'essaie de prouver l'existence du ciel à la lune bleue
Et est-ce bien toi ?
Est-ce bien toi ?
Gazpacho Cannibal Surf Babe Beautiful Afraid Of Sunrise Out Of This World Afraid Of Sunlight Beyond You King Bonus tracks : Icon Live Forever Mirages