(Je n’aurai pas davantage en possédant des terres : par l’espace, l’univers me comprend et m’engloutit comme un point ; par la pensée, je le comprends) – citation de Blaise Pascal – Le roseau pensant
Eh, monsieur Papier Mieux vaut que ton récit tienne debout On est pas né des années 60 Et c’est Sarah avec un H.
Et, oh, parfois Ta façon de voir les choses Ta façon de lire les choses Ta façon de voir les choses Me blesse
Oh, j’ai peur Que quelque part tu trouves le besoin De recracher mon nom Comme un pépin de pastèque.
Et, oh, parfois Je me dis : qu’est-ce-que je suis en train de faire ? Cette affaire de sang C’est un sou pour montrer mon cœur.
Oh, lune jumelle, Tu es ma lune jumelle Amène-moi haut vers le ciel Que je puisse t’embrasser Et boire la lumière de tes étoiles
La lumière ….
(Tout ira bien, tu t’en sortiras) pas sûr (Ca va aller, tout ira bien) (Pas certain)
Oh, lune jumelle, Tu es ma lune jumelle Amène-moi haut vers le ciel Que je puisse t’embrasser Et boire la lumière de tes étoiles
La lumière …
Je veux te montrer Je veux te montrer Je veux te montrer mon cœur
Voici l’histoire de moi et Jérôme Je viens de le convaincre de sortir de chez lui. Libres comme la liberté, en route vers Rome Il m’a dit, je prendrai un verre, mais je ne fume plus, non !
Il s’est lâché quand nous avons atteint le Tennessee En buvant du bourbon et en se moquant de moi Je lui ai demandé pourquoi il avait disparu si soudainement Il m’a répondu je me suis enfui avant qu’il ne fasse un film sur moi.
Et je suis charmée, charmée, charmée Heureuse de m’échapper Tu es une chanson, une chanson, une chanson mon ami Pour le dîner nous partageons un livre et une tarte à la banane.
Sur l’autoroute, nous sommes tombés en panne d’essence En se représentant le motel que nous avons dépassé L’aiguille baissait, et baissait vite Mais nous l’avons poussé au taquet, et la voiture s’est arrêtée.
Et je suis charmée, charmée, charmée Heureuse de m’échapper Tu es une chanson, une chanson, une chanson mon ami Pour le dîner nous partageons un livre et une tarte à la banane.
Il m’a dit je dois admettre que je n’ai jamais fait de genre de choses Mais j’aime bien ton regard et ta façon de chanter Peu importe où tu te trouves C’est ta façon d’être qui compte.
Dans le cœur Des garçons qui ont froid Et qui cherchent la réponse A travers un sou étincelant,
Qui ne réclament que le sommeil Et le repos de l’âme, Pourquoi la décision Revient au page vieillissant ?
Moi et Jean XXIII Avons goûté à ces mots acides Et je ne peux m’empêcher de penser Qu’il ne s’agit pas d’un test de dévotion Ou d’une chose issue de tes lectures.
Depuis l’aube des temps On lui a appris pourquoi Il ne faut pas poser ce genre de questions Et ne jamais pleurer.
Un plateau d’étoiles Ne pourrait jamais prendre la place Du garçon qui a juré de me rattraper Quand je cours à travers les champs de seigle.
Je sais que ça fait assez longtemps Que je n’ai pas chanté un hymne sans une once de culpabilité Et je sais qu’il s’en ficherait complètement Car si vraiment tu essayais, il te garderait une place là-bas.
Mon cœur las et agité Cherche non pas un pardon Mais seulement une promesse.
Toute la foi qu’on peut mériter, Est suffisante pour se demander pourquoi tu punis tes filles Bien-sûr c’est toi qu’il regarde à présent, et non le mur Mais n’est-ce pas mieux que de ne rien regarder du tout ?